Toujours dan la provocation et dans la légèreté ! OUI !
L'acte d'écrire, l'acte de lire...
Qui sait ce qui pousse un homme à écrire (ou à copier), acte si contraire à la nature ? Même pour lui, cela demeure en grande partie un mystère... A certains moments, rares et isolés, instants fugitifs, en un éclair on a l'impression de saisir cet illusoire pourquoi !
Un proche m'a fait parvenir une lettre pour me dire comment, pendant son procès, dans la cellule sous le tribunal, parmi tous les graffitis recouvrant les murs crasseux (les obscénités, les pieuses résolutions, les grossiers blasphèmes, les textes bibliques, les dates et les initiales), il découvrit ce prénom... Azad... (liberté en Arménien)...
La liberté d'écrire alors !
Mais pourquoi écrire (ou copier-coller), pourquoi ce ''blog'' ? Modernité quand tu nous tiens. Pour ce qui vient de moi, je ne peux pas réellement l'expliquer, sauf à admettre que je ne pourrais pas vivre sans écrire, lire, échanger, copier, coller, partager... C'est le seul moyen que j'ai de tenter de découvrir la signification d'un monde confus. Il y a le vieux dicton : ''on ne vit que deux fois'', et celle qui m'importe le plus est la vie que je saisis, ou crois, ou espère saisir, sur le papier, sur la toile, dans le monde... sans elle, je végéterais.
Il n'y a jamais aucune assurance, aucune certitude acquise d'avance. Mais, avec cette intense foi aveugle qu'une signification peut et doit être obtenue, aussi fugitive soit-elle, à partir de signes tracés sur le papier, je continue... ici, hier, aujourd'hui et demain sur ce blog l'entreprise commencée sur le papier depuis longtemps...
Ecrire n'est pas une réaction face à la vie. Pour moi, c'est la vie même...
Qui sait ce qui pousse un homme à écrire (ou à copier), acte si contraire à la nature ? Même pour lui, cela demeure en grande partie un mystère... A certains moments, rares et isolés, instants fugitifs, en un éclair on a l'impression de saisir cet illusoire pourquoi !
Un proche m'a fait parvenir une lettre pour me dire comment, pendant son procès, dans la cellule sous le tribunal, parmi tous les graffitis recouvrant les murs crasseux (les obscénités, les pieuses résolutions, les grossiers blasphèmes, les textes bibliques, les dates et les initiales), il découvrit ce prénom... Azad... (liberté en Arménien)...
La liberté d'écrire alors !
Mais pourquoi écrire (ou copier-coller), pourquoi ce ''blog'' ? Modernité quand tu nous tiens. Pour ce qui vient de moi, je ne peux pas réellement l'expliquer, sauf à admettre que je ne pourrais pas vivre sans écrire, lire, échanger, copier, coller, partager... C'est le seul moyen que j'ai de tenter de découvrir la signification d'un monde confus. Il y a le vieux dicton : ''on ne vit que deux fois'', et celle qui m'importe le plus est la vie que je saisis, ou crois, ou espère saisir, sur le papier, sur la toile, dans le monde... sans elle, je végéterais.
Il n'y a jamais aucune assurance, aucune certitude acquise d'avance. Mais, avec cette intense foi aveugle qu'une signification peut et doit être obtenue, aussi fugitive soit-elle, à partir de signes tracés sur le papier, je continue... ici, hier, aujourd'hui et demain sur ce blog l'entreprise commencée sur le papier depuis longtemps...
Ecrire n'est pas une réaction face à la vie. Pour moi, c'est la vie même...
Alors vous me pardonnerez bien... copier fait partie de la vie ! et la censure aussi !
Je sais !
Mais...
Vanité c’est laid
Trahison c’est laid
Lâcheté c’est laid
Délation c’est laid
La cruauté c’est laid
La calomnie c’est laid
L’âpreté c’est laid
L’infamie c’est laid aussi
...
Et moi……. je chante,
Moi je m’invente...
...une vie
Mylèné Farmer, C'est dans l'air, Point de Suture, 2008.
Vanité c’est laid
Trahison c’est laid
Lâcheté c’est laid
Délation c’est laid
La cruauté c’est laid
La calomnie c’est laid
L’âpreté c’est laid
L’infamie c’est laid aussi
...
Et moi……. je chante,
Moi je m’invente...
...une vie
Mylèné Farmer, C'est dans l'air, Point de Suture, 2008.
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