L'annonce par le ministre Xavier Darcos de la suppression de 10.000 postes en 2008 provoque la colère des syndicats. L'Unsa-Education fustige un "pilotage par la seule approche budgétaire". La FSU prévient qu'elle va "organiser la riposte".
Réactions au collège... ''il faut mettre des sous de côté cet été... la rentrée va être chaude !!''.
10.000 postes en moins, une logique comptable à courte vue, qui sacrifie l'avenir, compromet l'objectif d'assurer la réussite de tous et laisse présager un nouveau creusement des inégalités.
10.000 postes en moins, une logique comptable à courte vue, qui sacrifie l'avenir, compromet l'objectif d'assurer la réussite de tous et laisse présager un nouveau creusement des inégalités.
Que faire ? " Organiser la riposte "
Les suppressions de postes vont provoquer encore une fois une dégradation des conditions de travail et des conditions d'enseignements. Alors que les effectifs à la rentrée 2008, tels qu'ils sont prévus par le ministère, augmentent de plus de 20.000 élèves (premier et second degrés confondus), on supprime des postes !!
Les suppressions de postes vont provoquer encore une fois une dégradation des conditions de travail et des conditions d'enseignements. Alors que les effectifs à la rentrée 2008, tels qu'ils sont prévus par le ministère, augmentent de plus de 20.000 élèves (premier et second degrés confondus), on supprime des postes !!
C'est le second degré qui va être frappé de plein fouet par ces nouvelles suppressions d'emplois, qui ne seront possibles qu'en amputant fortement l'offre d'enseignement et en augmentant la charge de travail des personnels.
30 en classe d'espagnol en 4ème... est-ce raisonnable ????
Augmentation du nombre d'élèves par classe. Ce ne sont donc pas les exigences d'un service public de qualité, au service de la réussite de tous les élèves qui priment mais bien la seule obsession comptable.
Augmentation du nombre d'élèves par classe. Ce ne sont donc pas les exigences d'un service public de qualité, au service de la réussite de tous les élèves qui priment mais bien la seule obsession comptable.
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