
Comment la France a su décrocher la première place européenne en matière de natalité ?
Avec 830.000 naissances l’an dernier, d’après l'I.N.S.E.E., la France bat un record vieux de 25 ans et s’installe en haut du podium européen. La France fait plus d’enfants, elle se féminise également et tout cela a des répercussions économiques et politiques très importantes pour l’avenir. Car finalement, la démographie est une donnée essentielle pour définir, en France comme ailleurs, un certain nombre de politiques publiques.
Plus de bébés donc, naturellement, la population française continue de croître, nous sommes ainsi 63,4 millions d’habitants.
L'Espagne ou l’Allemagne paniquent devant la chute de leur taux de natalité, et puisent en France, des idées relatives à la politique familiale mise en place depuis plus de 30 ans.
Car au final, si les femmes françaises font des enfants, c’est parce qu’il existe chez nous des crèches, une école maternelle gratuite, des incitations financières, bref, il est possible de consigner vie familiale et vie professionnelle.
Et cette natalité orientée à la hausse, en dehors du fait qu’elle marque un réel optimisme des français, du moins, une foi en l’avenir, est très importante pour nos politiques économiques et sociales. Ainsi, plus d’enfants permettent d’appréhender avec une pression moindre le problème de financement de la sécurité sociale ou des retraites (quoique). D’autant plus que, si la France fait des bébés, elle vieillit également. L’espérance de vie continue également à croître (77ans pour les hommes / 84 ans pour les femmes). Et l’I.N.S.E.E. nous dit que les plus de 65 ans représentent déjà 16% de la population.
Avec ces chiffres qui permettent de bien appréhender l’avenir, le gouvernement ne pouvait que se féliciter du succès des politiques sociales et familiales. Or, dans ce rapport annuel de l’I.N.S.E.E., on apprend que trois millions de français se disent au chômage soit près d’un million de plus que les chiffres officiels.
Avec 830.000 naissances l’an dernier, d’après l'I.N.S.E.E., la France bat un record vieux de 25 ans et s’installe en haut du podium européen. La France fait plus d’enfants, elle se féminise également et tout cela a des répercussions économiques et politiques très importantes pour l’avenir. Car finalement, la démographie est une donnée essentielle pour définir, en France comme ailleurs, un certain nombre de politiques publiques.
Plus de bébés donc, naturellement, la population française continue de croître, nous sommes ainsi 63,4 millions d’habitants.
L'Espagne ou l’Allemagne paniquent devant la chute de leur taux de natalité, et puisent en France, des idées relatives à la politique familiale mise en place depuis plus de 30 ans.
Car au final, si les femmes françaises font des enfants, c’est parce qu’il existe chez nous des crèches, une école maternelle gratuite, des incitations financières, bref, il est possible de consigner vie familiale et vie professionnelle.
Et cette natalité orientée à la hausse, en dehors du fait qu’elle marque un réel optimisme des français, du moins, une foi en l’avenir, est très importante pour nos politiques économiques et sociales. Ainsi, plus d’enfants permettent d’appréhender avec une pression moindre le problème de financement de la sécurité sociale ou des retraites (quoique). D’autant plus que, si la France fait des bébés, elle vieillit également. L’espérance de vie continue également à croître (77ans pour les hommes / 84 ans pour les femmes). Et l’I.N.S.E.E. nous dit que les plus de 65 ans représentent déjà 16% de la population.
Avec ces chiffres qui permettent de bien appréhender l’avenir, le gouvernement ne pouvait que se féliciter du succès des politiques sociales et familiales. Or, dans ce rapport annuel de l’I.N.S.E.E., on apprend que trois millions de français se disent au chômage soit près d’un million de plus que les chiffres officiels.
C’est un fossé réel entre les chiffres triomphateurs du gouvernement et le ressenti des français.
Un fossé qui, parce qu’il existait déjà en 2002, risque de se matérialiser de nouveau dans les urnes, à la prochaine présidentielle...
Un fossé qui, parce qu’il existait déjà en 2002, risque de se matérialiser de nouveau dans les urnes, à la prochaine présidentielle...
A suivre...
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